Promenade en solitaire ? [PV Gabriel Cullen]

Je soupirai.

Oui je t'ai fais quelque chose! Je t,ai plaquai durement contre un arbre et tu en es resté marqué!!!

Je reculai de 100 mètres.

Je ne veux pas te voir souffrir, surtout à ce moment critique de cette conception.

Je soupirai :

- Gabriel, je te jure sur la tête de Rexou que j'ai rien sentis, j'ai même trouvé ça excitant, je n'ai pas eu mal, pas une seule seconde.

Je m'avançai vers lui :

- Si tu veux pas me voir souffrir en accouchant, alors tu me transformes dans quelques mois, maladie incurable ou pas et comme ça je tomberais et basta, c'est terminé, on en parle plus.

Je soupirai.

Jamais je te transformerai pour rien! Est ce clair?

Je grimpai dans un arbre.

Je soupirai :

- Ok, c'est clair.

Je le regardai :

- Arrête de monter dans un arbre quand je dis un truc qui te plais pas.
Descend.

Non je descends pas! Je m'assis sur ma branche et levai les yeux au ciel.

Depuis que nous sachons qu'on peut procréer, nous les mâles vampires, tous les vampires se cherchent une humaine pour avoir un petit, et maintenant j'apprends que... même les humaines au courant en veulent un d'un vampire.

Je lui fis un petit sourire et descendis de ma branche. Je m'approchai d'elle et pris son visage.

Je suis émus que tu... toi aussi tu en veux un et... à cause de ce danger, j'ai pas envie de subir tout ça, mais oui, si dans un an tu es prête, je te laisserai ce soit comme raison de transformation.

Je l,embrassai doucement.

Je soupirai :

- Peut-être parce que les vampires sont mieux que les humains.

Je lui souris :

- On verra dans un an si je prête ou pas.

Je prolongeai son baiser en caressant ses cheveux :

- Je t'aime Gabriel.

Je posai mon front contre le sien et je soupirai.

Nous ne sommes pas mieux que les humains, nous sommes pire! Et la preuve, nos bébé tuent leurs mères!

J'embrassai son nez.

Je suis un vampire, je n'ai rein d'humain, même en apparence, je brille au soleil, j'ai la peau d'une blancheur extrême, je suis froid, je ne respire pas, mon coeur ne bat pas, je ne dors même pas! En gros... je suis comme de la pierre, car, je brise comme de la pierre si on m'arrache un membre.

Je lui souris :

- Peut-être mais je te trouve beaucoup plus intéressant que tout les humains que j'ai pu croiser.

Je ris :

- Ce que tu es m'importe peu, que tu brilles au soleil, que tu es une peau extrêmement blanche, que tu ais une peau froide, que tu ne respires pas, que ton cœur ne bat plus, que tu ne dormes pas. Je m'en fiche. Ce que tu es au fond de toi, c'est ça qui est important.

Je l'embrassai tendrement.

Je soupirai. J'étais doux comme un agneau, parce qu'on me le montrait comme ça, la façon d'être.

Donc... si j'étais un vampire sanguinaire aux yeux rouge au lieu de doré, tu m'aurais fuis?

Je la regardai intensément, parce que parfois j'avais envie de virer de bord, d'être un vrai vampire... de me nourrir de sang humain. Cette vie minable, m’insupportai, j'étais moins fort et tellement seul à la villa.

Je le regardai :

- Si tu m'aurais attaqué oui, bien que je pense que tu m'en aurai laissé ni le temps, ni la possibilité mais si tu m'aurais prouvé que tu pouvais te contrôler face à mon sang, je t'aurais pas fuis.

Je lui fis un petit sourire.

Je lui souris, au bout de tout, si je me nourrissais de sang humain, je ne l'aurais jamais rencontré.

Je t'aurais tuer sur le coup ne voyant que de la nourriture en toi. Je remercie Edward de m'avoir donné la vie de végétarien.

Je lui souris et caressai sa joue.

Je ne t'aurai pas si non.

Je le regardai :

- C'est bien ce que je pensais.

Je lui souris et rougis :

- Oui, je peux le remercier aussi sinon je serais plus de ce monde.

Soudainement mon esprit réalisa la chance que j'avais d'être le vampire que je suis, car oui elle serait plus de ce monde, car, ça n'aurait pas été son chien que j'aurais fixé, mais elle, ne lui laissant pas le temps de dire une seule phrase.

Tu peux pas savoir à quel point ce que ça me fait tout ce que je viens de dire à l'instant! Jamais je ne voudrais qu'il t'arrive quoi que ce soit.

Je caressai ses joues du bout de mes doigts froid et chaque fois ça laissait une trainé de chair de poule sur sa peau. Je souris.

Je suis désolé d'être aussi froid, je pourrai jamais te tenir dans mes bras aussi longtemps qu'un autre mec.

Je reculai pour empêcher cette froideur, la nuit tombait, je soupirai.

Je souris :

- Je peux te dire la même chose, je ne tiens pas à e qu'il t'arrive quelque chose.

Je sentis la chair de poule se déclencher sur ma joue et lui souris :

- C'est pas de ta faute. Mais je suis bien dans tes bras.

Je le regardai :

- Tu ... tu vas rentrer chez toi ?

Je lui souris, mais baissai aussi le regard.

Oui... je n'ai pas le choix pourquoi? Tu veux que je sois avec toi?

Je la regardai en levant juste les yeux. Peut être que... c'est dangereux d'être vraiment seul avec elle dans une maison, sans Edward, mais j'en aurais tellement envie.

Tu... tu me veux avec toi c'est ça?

Je souris :

- Eh bien, euh ...

Je le regardai et rougis :

- Euh oui, j'aimerais que tu sois avec moi.

Je me demandais si c'était une bonne idée, vue que, je n'étais pas humain et qu'elle possédait un chien. Serais je capable de me contrôler face à son animal? Surement pas!

Je... dis pas non, mais, je suis un danger, je n'ai jamais été seul avec toi dans un endroit fermé, évidemment sauf la morgue.

Je ris.

Mais, si tu veux on peut essayer ce... soir? Si ça marche pas, je retournerai à la villa des Cullen.

Je lui souris :

- On verra bien.

Je souris :

- Oui j'aimerais bien essayer mais si tu as peur par rapport à Rex, n'ai pas peur, il n'est pas là, il est en convalescence dans le cabinet de vétérinaire où je travaille.

Je l'embrassai et pris sa main :

- On verra si ça marche.

Je soupirai.

Mais... je peux pas... je peux pas tant que... je sois pas certain, je suis pas humain! Je dois parler à Edward.

Je lâchai sa main.

Je te reconduis chez toi et je reviendrai dans quelques minutes.

Je soupirai :

- D'accord, je comprends.

Je lui souris :

- Avec plaisir.

On marcha donc jusqu'à chez moi, je rentrai pendant qu'il allait parler à Edward, attendant qu'il revienne.

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