Promenade en solitaire ? [PV Gabriel Cullen]

Je le regardai :

- Mais pourquoi ?

Je soupirai :

- Ben va boire, un cerf et revient ici, je bouge pas d'ici.

Mais pourquoi? Parce que c'était une humaine et je devais savoir me contrôler avant, ce que je n'avais pas encore acquis.

Euh... je n'ai pas soif, je ne sais juste pas... me contrôler.

Je baissai le regard.

Et si je te tuais... je me sentirai coupable.

Je soupirai :

- Un baiser, c'est tout ce que je te demande pour un début, c'est pas comme si je te demandais de me faire l'amour, ici, maintenant et tout de suite.

Je le regardai :

- Tu vas pas me tuer, je le sais, je te fais confiance, j'ai confiance en toi.

Je lui fis un petit sourire.

Je soupirai et m'approchai d'elle. J'étais nerveux et surtout je savais ce qui allait ce produire. Je ne bougeai rien d'autre que mon visage et je l'avançai doucement et je posai mes lèvres sur les siennes. Je l'embrassai, mais mon instinct me disait d'être brusque et je pris son visage dans mes mains et de mon corps la poussai brusquement contre un arbre, tout en l'embrassant, mais je finis par réaliser que je pourrais la tuer, je la lâchai rapidement, m'éclipsant sans qu'elle le voit.

Je me ramassai sur la branche d'arbre en haut d'elle, les mains sur mon visage.

Je souris en sentant ses lèvres sur les miennes, je le sentis prendre mon visage dans ses mains, je ne pu me retenir de passes mes bras autour de son cou puis, tout en m'embrassant, il me plaqua contre un arbres avec son corps. Il partit sans que je sache où :

- Gabriel ?

Je levais les yeux au ciel :

- Tu sais que tu vas finir par te prendre pour un écureuil et te mettre à manger des glands à grimper dans les arbres comme ça.

D'accord, j'essayai de détendre atmosphère.

J'étais nerveux et elle... elle faisait l'idiote.

Ce n'est... pas... drôle.

Je soupirai.

J'aurais pu te tuer! Les arbres sont ma seule liberté contre un humain!

Je baissai les yeux.

Je t'ai fait mal j'en suis sûr! Je t'ai plaqué brusquement contre un arbre, mettant tout mon poids sur toi... on est pas compatible. Trouve toi quelqu'un d'autre!

Je soupirai :

- C'était pour détendre l'atmosphère.

Je le regardai :

- En effet, on peut pas monter aussi rapidement à un arbre que toi.

Je réfléchis, j'avais pas eu mal et j'avais même plutôt trouver ça excitant :

- Non, j'ai pas du tout eu mal, j'aime même trouver ça excitant, moi prise en sandwich entre toi et l'arbre, totalement à ta merci, la proie à la merci du prédateur. Quoi de plus excitant ?

Je soupirai :

- Mais arrête de dire qu'ont est pas compatible, je suis sûre du contraire moi. C'est pas un autre que je veux, c'est toi que je veux.

Excitant? Mais elle était folle.

C'est impossible que je... ne t'ai pas fait mal.

Je sautai en bas de mon arbre et me retrouvai derrière elle en un rien de temps. Je soulevai son chandail, elle frissonna. Trop accroc à moi cette fille.

Regarde ce que je t'ai fait?

Même si elle ne pouvait pas le coir, elle était marqué des écorces de l'arbre à rouge vif.

Je t'ai fais mal Vanessa.

Je soupirai :

- Je t'ai dis que j'ai pas eu mal, crois-moi.

J'avais pas eu mal, je sais quand même ce que j'ai ressenti, avec que j'ai le temps de me rendre compte qu'il était descendu de l'arbre et qu'il se retrouvai derrière moi, il souleva mon haut ce qui me provoqua un frisson :

- J'ai pas des yeux dans le dos, je me regarderais dans une glace chez moi avec une autre glace, je pourrais voir.

Je soupirai :

- Je te dis que non !
Qu'est-ce qui te fais dire ça ? J'ai un truc dans le dos.

Je soupirai.

Tu saigne Vanessa, tu es... égratigné de partout.

Je posai ma main sur ses blessures et les caressai.

C'est drôle... ton sang ne m'attire pas.

Je soupirai :

- Ah ... j'ai pas eu mal, j'essaierais de soigner ça chez moi.

Je frémis quand il caressa mon dos :

- J'ai toujours pas mal, ça aussi c'est drôle.
Tu es habitué au sang animal, peut-être que c'est pour ça que mon sang ne t'attire pas.

Oui surement, vu que, je n'avais jamais pris de sang humain.

Je vais te guérir.

Je caressai ses plaies et me concentrai pour la guérir, je vis sous mes yeux les égratignures se refermer et son dos redevint intact. Je posai ma main sur celui ci et commençai à la caresser.

Tu as la peau si douce.

Je la retournai et pris son visage entre mes mains.

Je t'aime.

Je posai mes lèvres sur les siennes, et l'embrassai doucement.

Je le laissai guérir mon dos avant de le sentir me le caresser me provoquant de doux frissons incontrôlables, je souris :

- Merci.

Je lui souris quand il me dit qu'il m'aimait, profitait de son baiser et lui dis :

- Je t'aime aussi Gabriel.

Je posai doucement mes lèvres sur les siennes à mon tour avant de les retirer et de lui sourire.

Je la lâchai et reculai de 100 mètres.

C'est dommage que... on ira pas plus loin que des baisers.

Je baissai la tête.

Mais... j'aimerais tellement aller plus loin.

Je soupirai et m'avançai vers lui :

- Oui, c'est dommage mais sans t'en rendre compte, on est passé au stade des caresses.

Je lui souris :

- C'est plus la peine de rester aussi loin de moi.

Je m'approchai de lui avant de m'arrêter à 2 mètres de lui :

- Moi aussi, il nous faut peut-être juste du temps.

Je reculai de nouveau.

La raison pour laquelle je ne veux pas coucher avec toi c'est... ce qui se passera après.

Je la fixai.

Je soupirai :

- Je tomberais enceinte, c'est ça ?

Je le regardai attentivement.

Je soupirai.

Maintenant on sait que c'est ce qui arriverait et tu ne t,en sortiras pas. Ce bébé grossira en toi en l'espace d'un seul mois et il naitra en te déchirant le ventre avec ses dents et tout le long tu souffriras, il rejettera la nourriture que tu avaleras, tu auras besoin de sang humain pour que tu sois mieux et il te brisera des côtes ou autres os parce qu'il sera trop fort pour toi. En théorie, ton corps sera trop faible pour concevoir ce bébé.

Je la regardai, j'essayais carrément de la décourager pour qu'elle n'ait pas envie d'avoir un bébé avec moi.

Je soupirai :

- Tu peux très bien me transformer comme l'a fait Edward. Tu essaies de me décourager mais ça me dérange pas plus que ça, je risque de beaucoup souffrir mais rien que là j'ai pas souffert contre l'arbre donc bon.

Je lui souris.

Je ris, elle ne comprenait pas.

Tu souffriras mille fois plus Vanessa. C'est un calvaire, je ne rien vu de ce qui est arrivé à Bella, mais elle m'a tout raconté... Edward m,a tout raconté. Te transformer? Je ne peux pas le faire avant un an.

Je soupirai.

Tu es entêté, jamais je te ferai ça.

Je soupirai :

- J'ai pas tout de suite, on va attendre que tu es un an d'expérience et si à ce moment on se sent prêt, on pourra coucher ensemble. Mais c'est sûr que je tombe enceinte du premier coup ?

Je le regardai :

- Je suis pas entêté, je sais ce que je veux.

Je le pointai du doigt :

- Et c'est toi que je veux mais tu le sais déjà.

Je soupirai.

J'en sais rien, ça donné que Bella était dans ses temps à sa lune de miel et elle est tomber enceinte.

Je soupirai encore.

Je sais que tu me veux et tu devras vraiment attendre longtemps, car, je serai pas prêt pour ça... pour un être qui va te tuer en venant au monde!

Je soupirai :

- Ah, je vois.

Je le regardai :

- Mais quand tu pourras me transformer, tu seras peut-être prêt.

Je baissai le regard.

Non je ne le serai pas...

C'était un gros risque, Bella avait été la seule à survivre, parce qu'elle était aimer par le vampire qui lui avait fait ce bébé. Et moi je serai encore trop jeune pour réussir, j'en suis certain.

Je soupirai :

- Aie un peu confiance en toi. Regarde, tu m'as rien fait pendant le baiser, tu m'as pas mordu.
Tu m'as dis qu'un an suffisait pour qu'un vampire puisse transformer.
Ca devrait aller.

Je le regardai.