Retour attendu [PV Gabriel Cullen]

Ca faisait 10 mois que j'avais pas vu Gabriel et pour une raison toute simple, il ne pouvais pas me transformer avant un an/ Alors pourquoi 10 mois car quand je l'ai rencontré, ça faisait 2 mois qu'il était vampire.

J'étais sur mon lit attendant avec impatience son retour, selon mes calculs, Gabriel devait retenir ou aujourd'hui ou demain, voilà pourquoi je me disais demain pour pas être déçue si il venait pas ce soir. Je guettais chaque bruit venant de dehors même si il savait se faire aussi silencieux qu'une ombre, je détournais mes yeux de la fenêtre. J'espère juste qu'il avait pas dû repartir avec les Cullen.

J'avais passé ces dix derniers mois à chasser, à apprendre à être un vampire. Edward m'avait formé du mieux qu'il pouvait et j'avais appris à comment réussir une transformation, en générale c'était pas compliquer, je devais mordre et laisser la transformation ce faire.

Toutes les nuits durant ces mois je venais la regarder dormir, elle me manquait tellement. J'avais passé à l'animalerie juste avant d'aller sonner à son appartement. J'avais appris à différencier la nourriture, comme le fait les humain avec la viande. Je savais que je ne devais pas toucher aux animaux domestiques.

Quand elle ouvrit, j'avais les mains derrière mon dos.

Salut.

Je lui souris faiblement, baissant le regard. Je lui tendis un chiot de deux mois. Un berger Allemand.

C'est pour toi, là même couleur que Rex.

J'entendis sonner à ma porte, je descendis à vitesse grand V, manquant de me faire mal et ouvris avant de sourire en voyant Gabriel :

- Gabriel, je suis tellement contente de te voir.

Avant que je puisse le prendre dans mes bras, il me souris faiblement avant de me tendre un petit chiot berger allemand, je le pris dans mes bras :

- Salut toi. Tu sais que tu es mignon comme tout.

Je fis un grand sourire à Gabriel :

- Merci, il ressemble vraiment beaucoup à Rex.
Je t'en prie entre.

J'ouvris la porte en grand et le laissai entrer avant de poser Junior au sol, oui le berger allemand, j'avais décidé de l'appeler Rex Junior, mais Junior c'était plus court. Il allait pouvoir se familiariser avec son nouvel environnement.

Je la suivis et le chiot qu'elle venait de poser au sol s'en alla vers la cuisine. Je souris.

J'ai eu dû mal à l'adopter, il ne m'aimait pas vraiment, je crois que.... les animaux sentent que les vampires sont des dangers.

Je soupirai.

J'ai pu apprendre à mieux me contrôler et me connaitre mieux aussi, donc...Je baissai le regard. Je suis prêt à être avec toi, ici dans cet apparte, jusqu'à ce que je sentes que tu puisses devenir comme moi.

Je lui tendis ma main pour qu'elle la prenne.

Je souris :

- Je crois qu'il a trouvé sa pièce préférée. Surtout les vampires qui boivent des animaux.

Je le regardai :

- Ah c'est super que tu es appris à mieux te contrôler et à te connaitre mieux.

Je lui souris :

- Tu vas vivre avec moi, c'est super, je suis prête à attendre que tu sentes que je puisse être comme toi.

Je pris sa main et me serrai contre lui en sentant sa douce odeur.

Je la serrai doucement contre moi et je posai mon nez dans son cou.

Tu m'as... manqué.

Mais là cette proximité ne m'aidait pas, je n'avais pas réussis à contrôler cette envie atroce.

Excuse moi.

Je la lâchai et reculai dans le fond de la pièce.

Je lui souris :

- Tu m'as manqué aussi, énormément.

Je le regardai :

- Toujours du mal à te retenir de me faire l'amour.

Je lui fis un petit sourire :

- C'est pas grave, t'inquiètes pas.

Je baissai le regard.

Oui, je n'ai pas réglé ce problème, je suis désolé.

Je ne la regardai pas pour autant. Le petit chien s'approcha de moi, la queue entre les jambes. Je me penchai pour lui tendre ma main, qu'il renifla et me regarda.

Oh je sais ce que tu veux. Attends j'ai ce qu'il te faut.

Je me relevai et pris dans la poche de mon manteau l'échantillon de nourriture pour chiot qu'on m'avait donné. Je posai au sol le contenue du sac. Le chien s'en gava. Je souris et me relevai.

Je t'ai acheté ce chiot pour pas que... tu te sentes seule quand je serai pas là.

La bête vint se blottir sur mon pied. Je souris.

Apprivoisé!

Je le regardai :

- Oh, c'est rien.

Je souris en voyant le chiot s'approcher de Gabriel, je regardai Junior se régaler de la nourriture, je lui souris :

- C'est gentil mais je serais plus très seule maintenant que tu vas vivre avec moi.

Je souris :

- Il t'aime bien j'ai l'impression.

Je m'approchai et laisse Junior renifler ma main avant de le caresser :

- Ca ma manquer de pas te voir, de pas sentir ton odeur.

Je sentais quelque chose moi? Pourtant je n'utilise aucun parfum.

Y a des moments où je partirai des heures, pour chasser, surtout en saison froide, ce chiot sera là pour toi.

Je lui souris.

Je... je sens quoi? Vu que... mon odeur t'a manqué.

Je baissai le regard.

Je le regardai :

- Ah je vois et j'attendrais quand même ton retour avec impatience.

Je souris, m'assis à côté de lui, sentis son cou et lui dis :

- Hum, je saurais pas la définir mais une douce odeur de ... ben de toi, l'odeur de tes cheveux, une odeur propre à toi de toute façon tout en toi m'a manqué, c'est simple.

Je lui souris et m'avançai vers elle. Je me plantai devant elle à 10 centimètres, trop près même. Je souris de nouveau.

Je t'aime.

Je caressai sa joue du bout de mes doigts et je sentis sa chair de poule au froid de mes doigts. Je la pris dans mes bras et la portai jusque dans la chambre, la posant sur le lit. Je l'embrassai avidement, me tenant sur elle. Je caressai son cou.

Je la regardai dans les yeux.

Tu m'as trop manqué!

Je lui souris :

- Je t'aime aussi, tellement.

Je sentis une chair de poule traverser mon corps quand il caressa ma joue. Je m'accrochai à son cou, ne le quittant pas des yeux, je caressai ses cheveux quand il m'embrassa, je frémis sa caresses, je fixai ses yeux :

- Tu m'as trop manqué aussi.

Je l'embrassai avidement, ne pouvant retenir cette envie, 10 mois sans l'embrasser, le caresser, le voir, le sentir, c'était beaucoup trop long pour moi :

- Et je t'aime tellement.

J'ignorai si il comptait me faire l'amour.

Je souris, elle venait de me dire deux fois la même chose. Je l'embrassai encore et encore et je me redressai, réalisant ce que je m'apprêtais à faire.

Je reculai brusquement, frappant le mur de sa chambre.

Je suis désolé, j'aurais pas dû.

Je ne voulais pas prendre ce risque là. Je me laissai glissai le long du mur, mes fesses atteignant le sol. Le principe était le même pour la conception, seulement sous l'ovulation de la fille.

Je le regardai :

- Gabriel c'est pas grave.

Je soupirai :

- Je sais pas comment ça marche, mais je suis prête et pas dans mes temps.

J'ignorais si ça marchait comme pour les humains ou pas.

Je relevai la tête pour la regarder, je lui souris.

Tu... tu es vraiment prête? Même si... on ne sait pas vu pendant 10 mois?

Je me levai et m'assis au pied du lit. Elle n'était pas dans ses temps et je l'espérais fort bien.

Ça marche comme pour les humains, tu dois être en... ovulation durant 3 jours avant où après. Il faut vraiment que tu ne sois pas à veille d'être dans tes temps.

Je baissai le regard.

Je lui souris :

- Oui, j'ai eu largement le temps de réfléchir et je suis prête, notre éloignement m'a fait réaliser à quel point je tenais à toi et à quel point j'étais prête pour cette étape.

Prête à m'offrir à lui, je le regardai et m'approchai de lui :

- Ne t'inquiètes pas, j'ai encore une semaine et comme une semaine ça fait 7 jours, selon moi il y aucun risque.

Je lui souris et l'embrassai, maintenant à lui de choisir si il voulait me faire l'amour ou pas.

Je me passai la main sur le visage et soupirai. Je la regardai.

Tu crois que c'est une bonne chose... qu'on le fasse maintenant?

Fallait vraiment y réfléchir, étions-nous vraiment prêt?

J'ai vraiment envie de toi, mais... même juste te faire l'amour est dangereux. Je suis très fort et je risque de te blesser où même te briser des os.

Je la regardai. J'étais un vampire, pas un humain.

Je le regardai :

- Ben, oui.

Je lui fis un petit sourire :

- Moi aussi, j'ai très envie de toi. Si je me mets sur toi, tu pourras pas me faire de mal et puis tu peux me soigner non ?

Je le regardai et caressai ses cheveux tendrement.

Je la regardai. J'avais ce don incroyable.

Je réussirai quand même à te faire mal, ça c'est certain. Et d'ailleurs c'est ta première fois, je veux pas que tu te fasses mal, ce serait surement moins douloureux si c'est moi qui... fait l'acte.

Je lui souris.

Je veux pas que tu te serve de mon don comme excuse! Tu peux pas savoir à quel poing ça me fait mal quand je te fais mal!

Je baissai les yeux :

- Gabriel, je vais quand même souffrir un peu comme c'est ma première fois mais c'est normal ça. Je suis une fille. Toi qui fait l'acte ? Mais on sera deux, comment seul toi pourrait faire l'acte ?

Je le regardai et souris :

- Certainement autant que ça me fait mal. Mais très bien, je me servirais pas de ton don comme excuse.

Je souris.

Non je parlais de... la pénétration, que je pouvais la faire au lieu que toi tu la fasses.

Je baissai le regard.

Alors on est prêt donc...

Sans l'avertir, je mis ma main froide sous son chandail, j'allai caressai sa poitrine.

Je souris :

- Ah ...

Dans un sens, je voyais pas trop comment je pouvais la faire mais bon :

- Tu sais, je crois que je t'aurais quand même laissait faire même si il y avait aucun risque que j'ai mal, sauf si tu aurais pu avoir mal si tu la faisais bien sûr.

Je lui souris :

- Oui.

Je frémis quand il caressa ma poitrine mais plus par surprise et plaisir qu'à cause de sa froideur :

- Hum, Gabriel.

Je souris, profitant de ce nouveau plaisir.

Je me déshabillai complètement et je la poussai doucement sur le lit et je l'embrassai passionnément.

Tu es si belle.

Je lui retirai son haut et de mes doigts froid, lui retirai son bas.

Je regardai son corps en rougissant il était tellement beau, je le laissai m'allonger sur le lit et lui souris :

- Merci et toi tu es tellement beau.

Je frémis en le sentant me déshabillai en rougissant :

- J'espère que ce que tu vois de moi te déçois pas.

Je lui fis un petit sourire et embrassai doucement son torse froid.